La Libération ...
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Après ses débuts fracassants dans les music-halls de la capitale, le jazz avait donc connu un succès grandissant dans de multiples cabarets et des salles de concerts tout au long des Années Folles et jusqu'à la fin de l'Occupation.
Les premières prestations en France, à PLEYEL, de Duke ELLINGTON en 1933 et de Louis ARMSTRONG en 1934 avaient été des évènements marquants. Celle de Dizzy GILLESPIE et son big-band dans la même salle où il présente le be bop en 1948, provoque un véritable séisme. Une scission se produit entre les tenants du jazz traditionnel (les figues moisies) et ceux de formules nouvelles (les raisins aigres). Les débats sur ce qui est JAZZ et ce qui ne l'est pas n'ont pas cessé depuis.
A la Libération, les jazzmen connaissent cependant d'abord des difficultés (restrictions économiques, heures d'ouverture réduites des boîtes de nuit, diminution des effectifs des orchestres)
Mais, avant la fin des années 40, et sans que tous les problèmes disparaissent (des magazines spécialisés évoquent, en 1956, "la crise des cabarets" et s'inquiètent, en 1957 de la "situation difficile" dans les cabarets parisiens), commence pour les musiciens, de jazz notamment, une période faste. Elle va durer près de dix ans, en gros jusqu'à l'arrivée du "phénomène" yé yé.
Beaucoup d'artistes devront rechercher de nouvelles activités, et cela pendant une décennie, avant que la situation s'améliore ...
Mais les années soixante sont alors passées et le site que vous consultez ne s'est pas intéressé à la suite de l'histoire pourtant féconde en évènements jazzistiques ...
lieuxjazzparis4
23/03/04